Le programme | 2007-2008 2006 - 2007 2005 - 2006 2004 - 2005 2003 - 2004 2002 - 2003 janvier - juin 2002 |
Et moi alors ? Festival jeune public une coproduction avec la direction de la culture de la ville de Saint-Denis 21 avril au 12 mai 2007 |
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© Elisabeth Carecchio
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du 21 au 24 avril - Scène Roger Blin Les Sorcières est l'histoire drôle et cruelle d'un jeune garçon qui déjoue un complot mondial d'horribles sorcières avec la complicité de sa vénérable grand-mère norvégienne. Les sorcières seront anéanties dans une scène de banquet mémorable tandis que le petit garçon finira transformé en souris. texte français Laure Bonnet , Sylvain Maurice – scénographie et marionnettes Damien Caille-Perret assisté d' Antonin Bouvret – lumière Philippe Lacombe – avec Nadine Berland , Laure Bonnet , Cyril Bourgois et les musiciens Laurent Grais et Dayan Korolic |
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21 et 22 avril – cour du théâtre Léon et Willy, deux chirurgiens-bricoleurs à la retraite, se retrouvent au chevet d'un célèbre patient pour une intervention à corps ouvert. Équipés de matériel de pointe - caméra vidéo endoscopique, maillet anesthésique dernier cri, scalpel, ouvre-boîte, scie St Joseph - Léon et Willy iront faire un petit tour dans les entrailles tumultueuses de leur patient. Durant tout le spectacle, le public est sur le qui-vive, à l'affût de chaque petite richesse bondissante et hilarante extirpée de ce corps qui semble ne jamais tarir d'éléments de jeu et de surprises inopinées. Opération réussie ! conception, mise en scène, scénographie et marionnettes Alain Moreau - scénario Alain Moreau avec l'aide de Maxime Durin et Dimitri Joukovsky - musique Max Vandervorst - création des éclairages Dimitri Joukovsky - conseils techniques et traitement des images Benoit Moreau - assistants à la scénographie Céline Robaszinski et Michel Van Brussel avec (en alternance) Alain Moreau, Maxime Durin, Dimitri Joukovsky, Léon Knutselaar, Willy Bawette |
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24 avril - scène Jean-Marie Serreau Erik est un garçon de treize ans dans l'attente constante d'une punition, d'un conflit, d'un coup à donner ou à recevoir. À l'école comme à la maison, sa vie se construit dans la violence. Comment y répondre? Que répondre? Quels moyens reste-t-il lorsqu'on ne connaît que la douleur et l'humiliation? mise en scène Tiina Kaartma – adaptation Benny Haag – traduction du suédois Philippe Bouquet – lumières Jérôme Allart – avec Christophe Caustier |
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25 avril - à La Belle Étoile À la lueur d'une bougie, Kim Eun Young Pernelle mêle subtilement la calligraphie au théâtre d'ombres, et l'art du Céleste Empire à la symbolique occidentale. Dépouillement et précision rendent spectaculaire cette mise en espace philosophique. Des paysages apparaissent, des oiseaux, des personnages… de et avec Kim Eun Young Pernelle |
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du 25 au 28 avril - salle de répétition Le public prend place à l'intérieur d'une baraque de bois dans laquelle le cœur mécanique d'une pendule rythme la vie de trois personnages à l'écart du monde : le vieux Monsieur Hans et ses assistants, Monsieur Tric et Madame Trac, qui racontent les aventures du vilain petit canard. Mille objets hétéroclites entrent en scène et le vilain petit canard, marionnette de bois, marche, court, vole pour échapper aux dangers. texte de Marina Allegri d'après Hans Christian Andersen - mise en scène Maurizio Bercini - assistante à la mise en scène Manuela Capece - lumières Christian Peuckert - musique Alessandro Nidi - costumes Marina Allegri, Patrizia Caggiati - avec Giorgio Buraggi, Elena Gaffuri, Piergiorgio Gallicani. |
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© DR
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28 avril - scène Roger Blin Berlin, avril 1945. Les soldats russes sont aux portes de Berlin. Adolf Hitler, reclus dans son bunker, vit ses derniers instants. Il célèbre son anniversaire avec quelques fidèles en une fête macabre qui annonce l'agonie de la fureur nazie. texte Jan Veldman – conception, marionnettes et jeu Neville Tranter – mise en scène Theo Fransz – costumes Atty Kingma – lumière Desiree van Gelderen – musique Ferdinand Bakker , Kim Haworth. |
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du 28 au 29 avril - scène Jean-Marie Serreau En 1838, un jeune clerc de notaire, Hutter, quitte sa ville de Viborg, y laissant Ellen, sa jeune épouse, pour aller conclure une vente avec un châtelain des Carpates. Sur son chemin s'accumulent rencontres menaçantes et mauvais présages. Il parvient toutefois, tard dans la soirée, au château où l'accueille le comte Orlock qui semble être le croisement d'une chauve-souris et d'une gousse d'ail. Après, ça se gâte… adaptation, mise en scène, comédiens Julien Mellano et Denis Athimon. |
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du 2 au 5 mai - scène Jean-Marie Serreau Évoluant dans un décor très épuré, typiquement japonais, la comédienne évoque, en douceur, l'histoire de la planète. Le papier, une fois déchiré, froissé, travaillé, ou plié, devient tour à tour océan, nénuphar, tortue ou libellule, chenille, grenouille, ou échassier ! conception Christine Julien et Denis Guivarc'h – mise en scène Denis Guivarc'h – avec Christine Julien |
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© Emmanuelle Lévy |
du 2 au 5 mai - salle de répétition Lazare , vieux grincheux et fier de l'être, vit sur sa planète une petite vie réglée comme une horloge, jusqu'au jour où la mécanique se dérègle, où tombent à la place de son thé quotidien deux lapins très amoureux qui ne tardent pas à se retrouver en famille... Complètement dépassé, Lazare quitte sa chère planète et part à la découverte de l'univers intergalactique. Il apprend à léviter en pleine galaxie et manque de se noyer dans les larmes de la lune. Abandonnera-t-il ses craintes pour devenir un intrépide « marionnaute » prêt à s'aventurer jusqu'aux confins de l'espace-temps ? sur une idée de Emmanuelle Lévy – scénographie Arnaud Lousky-Pane – avec Claire Bleron manipulatrice – Léa Ros manipulatrice – Jens Khun agitateur sonore |
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© Phil Journé
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5 mai - scène Roger Blin Le coq est là. Le clocher est là. La rivière est là. Le grenier et ses trésors sont là. Autant dire que tout est là. Et de plus c'est loin du monde et de tous ses fatras. Oh les beaux jours que cela pourrait être. À se demander pourquoi cela ne lui suffit pas, au gamin. Et quelle idée lui prend un beau matin de remonter, et sans prévenir, le cours du Loing. À pied d'abord, à la nage ensuite, en canoë enfin, il chavire en pleine nuit dans le grand tourbillon marin, manquant se noyer, concédant un orteil aux requins, bientôt pris dans les mailles du filet d'une frégate pirate où il va devoir faire le dur apprentissage d'une vie corsaire, la seule qui, si l'on en croit l'équipage, permette de survivre sur le plancher des vaches où il finira, contre son gré, par apprendre ce qu'échouer veut dire. texte et mise en scène Joël Jouanneau – décor Jacques Gabel – costumes Stéphanie Coudert – lumières Franck Thevenon – son Pablo Bergel – avec Camille Garcia, Delphine Lamand, Nicolas Chupin, Bryan Polach, Fabrice Bénard. |
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du 8 au 12 mai - scène Roger Blin Des chorégraphes venus d'horizons différents se sont emparés des fables de Jean de La Fontaine pour en donner leur interprétation. Ces fables, graves ou légères, que l'on pense tous connaître, s'offrent à nous dans une nouvelle lecture, dansée cette fois. Et les vers de La Fontaine deviennent rythmes, images, mouvement, explorant aussi bien le baroque que le hip-hop. Chaque chorégraphe a puisé dans ses souvenirs d'enfance pour donner un écho contemporain à ces histoires vieilles de trois siècles. Voilà qui trace avec originalité un chemin sensible et cocasse entre enfance et âge adulte. programme A (à partir de 6 ans) programme B (adolescents) |
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